Il y a quelques mois, le président de la Fédération française des sociétés d’assurance, Bernard Spitz, signait aux côtés du Président de la République un protocole d’accord sur le droit à l’oubli. Ce dernier devait permettre aux anciens malades du cancer de ne plus avoir à mentionner leurs antécédents médicaux dans leur dossier lorsqu’ils souscrivent une assurance-emprunteur. Une avancée considérable pour eux dans la mesure où ce dispositif leur facilitera l’accès à l’emprunt et leur évitera d’avoir à payer une surprime d’assurance ou de pâtir d’un niveau de couverture moindre.
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