Avec le développement d’Internet, la question du traitement des données personnelles « numériques » des personnes décédées commence à prendre de l’importance. En effet, au décès d’une personne, si rien n’a été prévu (par exemple, la transmission des mots de passe aux proches via un document…), tous ses comptes en ligne restent généralement ouverts auprès des différents sites et plates-formes Internet : emails, documents, comptes de réseaux sociaux, galerie de photos, etc. Des éléments qui peuvent représenter une réelle valeur sentimentale. Même si les héritiers du défunt peuvent s’adresser à ces sites pour demander la prise en compte du décès, dans les faits, leur requête ne trouve pas toujours un écho favorable.
Articles récents
- La modification d’une convention réglementée conclue par une SARL doit être approuvée
- Apprentissage : la participation des employeurs est fixée à 750 €
- Jeunes entreprises innovantes : quel niveau de dépenses de R&D ?
- Décès d’un exploitant agricole : à qui est attribué le bail rural ?
- Que feront vos salariés pour le 14 juillet ?