Au sein d’une association, le pouvoir de licencier les salariés relève, en principe, de la compétence de son président, sauf si les statuts l’attribuent à un autre organe tel que le conseil d’administration. Et, lorsque la lettre de licenciement d’un salarié est signée par une personne qui n’a pas le pouvoir de licencier, le licenciement est réputé être sans cause réelle et sérieuse.