Actuellement, pour être valable, l’accord collectif conclu au niveau de l’entreprise doit être signé par l’employeur et par un ou plusieurs syndicats de salariés représentatifs ayant recueilli au moins 30 % des suffrages exprimés au premier tour des dernières élections professionnelles (titulaires du comité d’entreprise, délégation unique du personnel ou délégués du personnel). De plus, il ne doit pas faire l’objet d’une opposition de la part de syndicats représentatifs ayant, quant à eux, recueilli la majorité de ces suffrages.
Articles récents
- Déloyauté du salarié : c’est l’intention qui compte !
- Commerçants : préparez-vous pour les soldes d’hiver !
- Évaluation des avantages en nature pour les véhicules électriques
- Exploitants agricoles : les modalités d’accès à Telepac sont simplifiées
- La France s’engage : l’appel à projets 2026 bientôt lancé