La loi interdit à un créancier professionnel, donc notamment à une banque, de se prévaloir d’un cautionnement conclu par une personne physique (par exemple, un dirigeant pour garantir un prêt contracté par sa société) dont l’engagement était, lorsqu’il a été souscrit, manifestement disproportionné à ses biens et à ses revenus. Sauf si le patrimoine de cette personne lui permet, au moment où la banque lui demande de payer en lieu et place du débiteur, de faire face à son obligation.
Articles récents
- Compte d’engagement citoyen : les bénévoles ont jusqu’à fin juin pour déclarer leurs activités
- Une société civile de moyens bénéficie-t-elle du droit de rétractation ?
- Accident du travail : quand cesse la protection contre le licenciement ?
- Le recrutement de travailleurs étrangers facilité
- Déclarez vos biens immobiliers au plus tard le 30 juin 2025